9 octobre 2012

Chocolate

Chocolate
J'adore Jeeja Yanin, je parlerai d'elle dans un autre billet. Elle est toute petite et cute, sa voix est un peu agressante, mais comme elle parle peu dans ses films, who cares! Ça doit être l'accent thaï, désolée, j'peux pas aider.

L'histoire de Chocolate est toute simple. Une gamine, Zen, autiste essaie de réunir suffisamment d'argent pour payer les factures médicales de sa mère atteinte de cancer. Le reste, c'est du spoil.

Avant sa naissance, sa mère, Zin (Ammara Siripong), faisait partie d'une mafia thaïlandaise. Elle rencontra le père de Zen, Masashi (Hiroshi Abe), un yakuza quand celui-ci essaya de mettre pied dans le territoire du boss de Zin. Ils tombèrent amoureux l'un de l'autre et tralala.

Jeeja Yanin

Le boss n'était pas content, son bras droit -son enforcer, surtout- ne pouvait pas fréquenter les yakuzas. Il était plus jaloux qu'autre chose, anyway. Il leur donna un ultimatum violent, durant lequel le boss se tira sur le gros orteil exprès. J'avais pas compris la référence. Ils se séparent plus tard, il retourne au Japon et elle coupe tous les ponts avec le crime organisé.

Zin tombe enceinte, donne naissance et quelques années plus tard apprend que sa fille est différente des autres enfants. Son docteur la diagnostique autiste. Le seul moyen de calmer Zen quand elle pleure est de lui donner des chocolats Smarties/M&M d'où le titre du film. Son point faible, tous héros doivent en avoir un, est la vue de mouches. Quand elle était petite, une mouche s'est faufilée dans sa bouche et elle dut aller à l'hôpital.

Zin est toujours en contact avec Masahi, elle lui envoie des lettres sur la santé de sa fille. Mais, elle se fait prendre et le boss lui rappellera ses conditions, avec grande sévérité, of course.

Attention danger
Source
Le reste du film montre comment Zen apprend les arts martiaux en étant bonne observatrice, il y a un dojo proche de chez elle et elle regarde une tonne de films d'arts martiaux. Sa mère et elle se lient d'amitié avec un garçon, Mangmoom (Taphon Phopwandee) qui deviendra presque le gardien de l'enfant autiste. Sa mère tombe malade et Mangmoon découvre un livret où sont marqués les noms de personnes le montant d'argent qu'ils doivent à quelqu'un. Bien entendu, il assume qu'ils doivent à Zin.

Les problèmes arrivent bien assez vite.

Les combats et cascades sont hallucinants quand on sait qu'il n'y a pas de cordes pour aider la frêle femme à accomplir ses sauts. Je dis femme, bien malgré moi, parce qu'elle avait 24 ans quand le film est sorti. Je plains surtout les cascadeurs surtout quand je pense à celui mort sur le lieu de tournage d'Expendables II. J'crois pas qu'il y ait des matelas pour les chutes.

Un commentaire sur IMDb m'a fait rire à haute voix. C'était toujours à propos des take out à la fin du film montrant les stunts et blessures des acrobates, cascadeurs et de l'actrice.

« ...In Chocolate almost everything you see is real. They just do it, and hope they survive... » Source


Cote : une menace de 5'3 crédible

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