28 novembre 2011

Fin de semaine en XIII!

Drôle de fin de semaine. J’ai travaillé quelques heures - enfin!- et j’étais tellement perdue. J’ai remarqué qu’il faut que j’aille me faire checker les oreilles. J’ai peut-être endommagé mes tympans avec la musique forte. Je n’arrive pas à entendre mes clients. Surtout les ethnies autres que noirs. Je ne sais pas si c’est moi qui leur fait peur, avec mes tâches d’acnés, mon visage gras par les vapeurs du restaurant. J’essaie de leur sourire pour les mettre à l’aise, mais rien n’y fait. Il parle comme si j’allais leur sauter à la gorge.


En tout cas, party de noël cette fin de semaine! Pas cool du tout, je travaille trente minutes avant le départ. J’espère qu’on ne me fera pas finir dix minutes plus tard, j’aurais besoin de toutes les trente minutes pour me préparer. Il faut bien que je fasse un mini effort vestimentaire, cosmétique et esthétique, une ou deux fois par année. Ma cause n’est pas totalement perdue, je suppose.

Tome 20 - Le Jour du Mayflower
Le numéro 20 de XIII est sorti depuis plus d’une semaine. Je savais qu’il y en avait un. Ce que j’ignorais, c’est que ce n’était pas J. Van Hamme et M. Vance qui seraient les auteurs. Comme je peux détester les reboot! De nouveaux auteurs, semi-jeunes, avec un bon background dans l’écriture et la création de bande dessinée; j’espère que ce sera suffisant. Au moins, ils sont des fanas de la série. Tout ce que je souhaite, c’est que cela ne leur prenne pas 24 ans et 58 jours pour faire 19 tomes. Dans le Jour du Mayflower, Jones n’apparaît même pas, une case ou deux paraitrait-il, quelque chose a amélioré pour le futur.

Donc, pour les prochaines semaines, je vais faire le plein de la série. Cela fait à peu près cinq ou six ans que je suis fan de la série. Elle a fini en 2007 et elle vient de faire un reboot, il faut que je me mette à jour.

Code : XIII


24 novembre 2011

Histoire d'une histoire

Bon, je fais des recherches en ce moment sur les loups. C’est pour l’histoire qu’on a décidé d’écrire à deux, N. et moi. Je ne suis pas très avancée, parce que je ne sais pas où me diriger. Il y a les deux protagonistes de choisis, la direction générale dans laquelle nous nous dirigeons, mais rien d’autres. Je ne sais pas si je veux vraiment faire de la romance, plus j’avance dans mes lectures. Je veux aller plus en profondeur qu’un Harlequin. Mais il faut que je revienne en arrière, à ce qu’on a décidé. Je veux déjà partir pour une épopée. Il faut voir si on va arriver à finir cette histoire.


Donc, le protagoniste mâle est Québécois, professeur de francisation aux immigrés, qui est en très bonne forme physique qui tombe dans le monde des loups-garous de Montréal. Soit, et après? Il faut que je découvre pourquoi et comment il va tomber amoureux de la chef de la meute qui a perdu son Alpha. Je dois montrer la différence entre l’humain et le loup. L’un qui peut mentir, tricher et tuer pour des raisons mesquines et sans importance. L’autre qui a toutes les armes à sa portée, mais ne les utilise qu’en nécessité, qui protège sa famille et la meute, qui respecte les hiérarchies imposées par la nature.

Je dois trouver un moyen de rendre les personnages attrayants. Et je ne suis déjà pas attirée par la protagoniste ni par son futur « amoureux ». Elle est seule à la tête de la bande, elle doit prendre des décisions impopulaires, elle a le souffle des membres mâles de la meute qui veulent remplacer son défunt amant sur son cou. À part ça, je ne sais pas ce qu’elle aime, ce qu’elle déteste. Ce qu’elle fait de ses journées quand elle ne donne pas des ordres à ses bêtas. Rien. Complètement étrangère.

Et maintenant que j’y pense, les Bêtas ne sont pas des idiots serviles qui ne sont là que pour remplacer les Alphas quand ils ne sont pas là. Ce sont les généraux de têtes qui prennent beaucoup de décisions. Qui entre dans la meute, qui peut s’en approcher, où aller pour chasser, prendre soins des louveteaux, etc. À part garder le calme et s’accoupler, il ne semble pas que les Alphas font grand chose. Ils ne se battent que si leur autorité est en danger. Je vais en lire plus sur l’homme qui vivait avec les loups et je monterai une meilleure image de la protagoniste et de sa meute. D’abord, elle ne sera pas Belle assise sur son trône, attendant le prince charmant qu’il soit Bête ou… Prince Charmant. Les louves Alphas sont sans pitié, semblerait.

Code : Alphas, Bêtas et tralala

23 novembre 2011

N.

Je pense que j’aime pousser les boutons des gens. Je veux voir jusqu’où ils iront dans leur magnanimité. Certains ne semblent pas en avoir. D’autres font semblant d’être tolérants. Je l’ai toujours dit, je ne supporte pas l’hypocrisie. Je n’ai jamais dit que j’étais sensible, mais plusieurs pensent que je le suis. J’essaie d’être empathique. Si les gens voient plus que de l’empathie quand j’exprime une émotion, tant pis pour eux. Je n’ai pas de temps à perdre en tentant de leur faire changer d’idée. N. arrive vraiment en haut de la pile. Elle est celle qui m’appelle, me texte le plus souvent. C’est aussi de la seule que j’accepte des cadeaux. Je n’ai jamais apprécié que C. ou K.  me paie quoi que ce soit. Il faut toujours que je trouve le moyen le plus rapide de leur remettre leur générosité ou leur amitié.


Maintenant, C. ne répond pas à mes appels, tant pis. Je ne suis pas du genre à courir après du monde. J’ai même tendance à adorer les ignorer aussi. Il n’y a rien de plus irritant que d’être ignorée. Je le sais, j’en ai souffert beaucoup plus jeune. Maintenant, c’est moi qui choisie de porter de l’attention à une personne ou non. D’accepter que l’on me parle ou non. La mort me guette, donc je n’ai plus beaucoup de patience pour les états d’âme des gens. Comme des miennes d’ailleurs, je suppose.  C’est une bataille au quotidien, j’essaie de ne pas être la gentille fille. C’est assez fatiguant. Pour en revenir à N., je suppose que je peux la faire passer à ma liste extrêmement courte de personne et de chose que je sauverais si jamais le feu pognait dans un édifice. -shrug- C’est un grand pas. La vie serait vraiment plate sans elle. Belle réalisation, Luce.

Et ce serait vraiment plate de ne pas continuer le bouquin, si elle ne le faisait plus avec moi. En tout cas, mon disque dur externe, mes cahiers de notes, mes cartables d’histoires te souhaitent la bienvenue dans le club N. Maintenant, il faut que je sauvegarde tous mes dvds, cds et livres pour les faire entrer dans cette liste. Mes jeux vidéos aussi.

Code : humour noir


N'importe quoi!

Est-ce que je peux le répéter : N’importe quoi! Il aurait juste dû invitée les meneuses de l’absentéisme dans son bureau pour faire son discours à la noix, au lieu de me faire perdre du temps. J’ai des choses à récupérer, à retravailler parce que, comme je le disais l’autre jour, je n’avais pas assez d’argent pour acheter leurs foutus livres.

En tout cas, je m’étais trompée. Ce n’est pas le cours hyper ennuyant de Gestion de l’information que j’avais manqué, mais celui palpitant de Rédaction en français. Le professeur dit que c’est un cours facile et léger, mais perdre une heure en arrivant pour un test de vitesse. Une heure. Ces filles m’énervent, elles ne savent toujours pas comment calculer leur putain de mots/minute. Mon dieu. Et maintenant que le trio extraordinaire va peut-être tombé à un duo, les deux filles en face de moi pensent qu’il faut leur ravir leur titre de grandes gueules en classe. S’il vous plaît! Ne venez pas vous plaindre du bruit en classe, quand ce sont vos lèvres qui claquent.

http://www.artbronze.com/maternitebypascaljarrion-1-1.aspx
Nonchalance par Pascal Jarrion
Oui, je suis irritée. Cela se vois, si je dois, en moins d’une semaine, écrire dans ce journal que je laisse à la dérive, encore une fois. J’essaie par tous les moyens de voir la fin de cette ridicule formation, mais je n’y arrive pas. En plus recommencer à travailler à cet endroit me dégoûte.  Et l’adjoint qui ose nous demander si on est toujours intéressées à finir la formation. Please, si je n’avais pas levé ma main, est-ce que cela aurait été une cause à renvoi? -rolls eyes- Encore une fois : N’importe quoi!

Aujourd’hui, je dois refaire la synthèse que j’ai manquée jeudi dernier parce que je n’avais rien à foutre de retourner en classe pour un cours de Gestion. Je pensais m’en tirer, my bad. Tout ce que j’espère c’est que ce n’est pas ce gros imbécile de fendant qui nous surveille encore une fois.

Code : irritation

21 novembre 2011

L'argent, c'est aussi une motivation!

Je suis en train de me fracasser contre le mur de l'ennui. Enfin, je l'étais J'avais ce cours de Word dont j'aurais pu me passer, puisque je n'avais qu'à suivre ce qui était écrit dans le livre. La première synthèse, je dois l'avouer, fut un choc pour moi. Je n'étais pas habitué à un tel jargon. je vais l'être encore plus avec le cours avancé de Word 2010. Mais quand même, j'ai manqué près de 25% du cours et j'ai 100% à ma dernière synthèse. Je vais avoir SUCCÈS comme note pour mon examen. Pas de note, une des nombreuses chose qui me font souffrir dans la formation professionnelle. Tu peux pas avoir de bragging rights avec SUCCÈS. Au moins, les profs nous disent d'avance la note de passage dont nous avons besoin pour avoir un succès. Pour Word, c'est 80%.

Pour Gestion, 80% aussi. Un autre cours ennuyeux, mais qui a passé au moins plus vite que les autres. C'était un cours de 50 heures. Mais je suis rendue soûlée de ces formatifs qui ne semblent pas donner grand chose. Et de plus en plus, j'ai l'impression qu'il y a une trop grande dose de subjectivité dans le choix des cotes. En tout cas, je viens de manquer les deux derniers cours parce que j'en avais absolument rien à foutre. Ce qui est grave. Il me reste un cours de deux heures et une mise à niveau -si l'on me force à y aller- avant l'examen. Et c'est dans son droit de me refuser à l'examen si je ne fais pas tous les synthèses. Tandis qu'il y a des filles qui ne savent même pas classer par couleur, je risque de ne pas faire l'examen parce que le cours m'ennui à mourir. -rolls eyes-
http://senegalsante.seneweb.com/pourquoi-les-bebes-pleurent_b_8.html
Je geins, je geins...


Aujourd'hui, mon excuse pour ne pas m'être pointée était la honte. Je n'avais pas assez d'argent pour m'acheter un livre nécessaire à mon nouveau cours de Comptabilité. C'est un cours qui va être lourd, je le sais, le prof nous l'a dit, c'est quand même 110 heures, plus que le cours de Révision de texte. Je ne sais pas ce que je vais faire. Je serais la seule à ne pas l'avoir. J'aurais tellement dû remplir le formulaire de prêt et bourse en été. Je n'aurais pas autant de problèmes. J'ai essayé de travailler plus, je n'arrivais pas à me concentrer à l'école. Mes cours de japonais pourraient être un problème, mais contrairement au McDo, je vois l'utilité à long terme de ce cours. McDo était une solution à court terme parce que je me noyais dans mes dettes pendant les quatre premiers mois de cette année. Maintenant, je ne fais pas assez pour me payer une passe du mois. En tout cas, je dois serrer des dents encore au moins trois semaines. Je devrais avoir une réponse d'ici là. Si je n'ai pas d'aide, je ne pourrai pas continuer à étudier. C'est aussi simple que ça.

Pour Révision de texte, il faut 85%. Et pour ce cours, j'ai des sueurs froides la nuit, on dirait. Nahn, c'est mes SPM. Mais quand même, j'ai de grandes peurs après avoir parlé à plusieurs filles de la classe. J'ai fait plusieurs erreurs de chiffres. Tant que je ne fais pas d'erreurs de grammaire ou de syntaxe, je suis dans le bon. J'ai reçu mon bulletin du Ministère de j'sais pas quoi. Je ne sais pas pourquoi, je l'ai reçu, mais j'ai remarqué que je n'étais pas si hot que ça en français durant ma dernière année du secondaire. J'ai même scoré plus haut durant le test de septembre dernier, j'avais eu 78%. Il semblerait que la lecture et l'écriture m'aient sauvée de la déchéance. Même si je suis nerveuse, j'ai hâte de savoir ma note. SUCCÈS ou ÉCHEC, oh! la frustration de ne pas savoir la note en pourcentage. Si c'est ça les réformes dont tout le monde se plaint, merci seigneur, je suis allée dans une école privée avant les années 2000.

Code : SUCCÈS, ÉCHEC